Cadavre... huuummmm.... exquis
De rêves en l'air, de l'air en rêve flottent en filigrane dans la nuit dansent les ombres entrelacées.
Vous êtes envoyés, vous voyagez à travers les ombres.
La lune noire fait apparaître des lianes de lumière.
Sa folie des rondeurs.
C'est facile, mais il faut la plier.
Comme les vagues de l'âme, pliées sur le silence d'un soupir, soupirant à travers le soupirail de mes entrailles, tenaille ma taille de guêpe s'affine fine, bouche-bée, dans mes déhanchements sourds, lents, suaves.
La sexualité prenait le dessus, le dessous, envahissait tout l'espace des corps.
Aucune n'échappa au velouté de ses lèvres. Une farandole de caresses accompagnait les baisers délicats.
Comme les larmes de la lune, qui tombent sur le dos du clown solitaire, oublié dans les étoiles, perdu dans les chemins.
Qui se croisent, se mêlent, nous lient pour mieux nous lire.
Dans nos fonds, nos fins, nos abîmes, mais aussi nos sommets, nos victoires, et tous ces soleils qui ont éclairé nos matins.
Toutes les lunes qui ont éclairé, adouci nos nuits telles des lucioles frivoles.
Elles nous éclairaient de leurs douces lumières. La chaleur qui en émanait était proche de celle qui s'échappait de nos cops.
Cuerpos que esperan el dià a ver el sol, reinventàndose en las mirados, limpias de la maἤana, sintiendo el tacto humano de la carne viva
Cadavre exquis
Par des clowns